Putain, quelle
semaine ! Apprenant par hasard que j’avais 3 lecteurs (dont 2 filles,
con !) qui appréciaient mon style cavalier (c’est bon, on a compris, aux tomates
…), je me dis : « je vais t’y recharger ma petite fabrique à vacherie
et te leur faire péter une tournée d’hiver de vachettes, en préchauffe, ça va
pas tarder !
Un peu à la manière
de ce Primavera qui vient tenter de redorer le blason de cette Rockschool qui
n’en finit plus de Rouxcouler des vieux jours sur les cendres du r&r
qu’elle contribua à occire, à grands coups de médiations.
IF
[Peu intéressé par les choses de la politique
ou de droite (probablement la même chose, mais sait-on jamais ? si l’on se
réfère au principe de précaution, cher aux couilles molles en général et à
François Hollande, en particulier, 2 précautions valent mieux qu’une Taubira … ou
une Tabarot, selon les affinités …)]
GOTO
[Moutons-chevaux]
Spécial dédicace aux forains de la Foire aux
plaisirs qui, préférant l’action aux jérémiades au JT, ont ouvert des
perspectives dans le dialogue social, en décidant d’aller casser la gueule et
autres accessoires à un nouveau concurrent, con-cul-rohan serait plus juste en
l’au-cul-rance, nouveau con-cul-rohan qui
n’emploie qu’une dizaine de personnes alors que la Foire aux plaisirs c’est
environ 500 personnes, depuis Vercingétorix, qui en vivent.
Voilà une piste (aux étoiles) intéressante par
les temps qui courent (hue cocotte …), contre la crise et le chômage galopant
(je vous demande de vous arrêter !), dont on ne parle pas assez :
quand un nouveau concurrent essaie de passer en force en essayant de casser le
modèle en place, on lui casse la gueule et autres gadgets décoratifs.
Ce que Orange & SFR auraient été bien
inspirés de faire avec ce sinistre bonhomme, Niel, qui rappelle (en PCV) plus
le fiel que le miel … tiens, tiens, Niel, ça vous rappelle pas une autre
entourloupe locale, ça ?
Mais, nous y reviendrons sûrement, plus avant,
s’il reste du carburant dans la machine à dézinguer.
Parce qu’en fait, y a un truc qui m’échappe
dans cet OM2mC (Organisation Mondiale de mes Couilles): la concurrence, ça
apporte quoi, au juste, à tout un chacun ? hein ? ça profite à qui,
en fait, ce truc ? hein ? à part au consommateur de mes couilles qui
veut jamais rien payer ? hein ? alors pourquoi donc l’Europe veut-elle
imposer la concurrence à tous les étages ? hein ? comment qu’ils ont
encore réussi à en croquer, ces fumiers ? hein ?
[Moutons-chevaux]
Bon revenons à nos
moutons de Pauillac …
1. J’ai reçu dernièrement la Newsletter de la Friche Belle de Mai,
du nom de ce remarquable Ensemble (on parle aussi d’Outil, en Novlangue) culturel
marseillais dont au sujet duquel ils nous ont mis la branlasse dont même les
draps se souviennent, vous vous rappelez ?
Je suis allé faire un tour virtuel à Marseille pour savoir comment ces fadas
s’y étaient pris pour enfumer leurs institutionnels (sûrement aussi marioles
que les nôtres) et leur faire cracher les pépettes qui permettent, même en
temps de disette, des trucs-bidules-machins-chouettes, en pure perte. Et … à
l’anisette … bien sûr, sur ce territoire si pittoresque.
http://www.lafriche.org/content/1992-%E2%80%93-2013
Enfin, voici ce qu’il advint, au pays
p-a-p-in,
Et qui fit qu’à la fin, ils furent eux et dégun.
(Epître de Voltaire à José Anigo, vers l’an 1736)
Alors que les grues de la désolation passent sous mes fenêtres pour éradiquer
définitivement l’austère bâtiment culturel (face au majestueux open-space
éco-créatif), envisagé un temps, dans un moment d’égarement romantique, très
rare chez le modèle de sorcières en vigueur à Rohan (Alain, Michel, Dominique,
Jean-Charles, Pierre, Stéphan, pour ne citer que les plus célèbres de ces courtisanes
mal intentionnées, mais, au fait, il en manque une, dont j’ai
malencontreusement oublié le blase, Hubert ?
Huguenot ? Hugo ? Hüsker Dü ? ah, beh, non, ça ne me revient
pas, c’est balot !).
Heureusement, le mascaret éco-créatif purificateur est venu balayer son trottoir
de cette vermine qui rampait dans sa direction pour demander la pièce.
Mais l’Histoire, dans sa grande sagesse, a, depuis bien longtemps, déjà tranché
entre les Darwinistes et les Créationnistes de tous poils, entre le Créateur,
l’Auteur-Compositeur-Interprète, le Producteur et le Consommateur toujours
épris de liberté, capable d’ingénieux stratagèmes pour garder son pécule
intact, entre la Création envisagée comme une dépense inutile et le Loisir
créatif, ultime avatar de l’élévation de l’homo sapiens vers son idéal au ciel,
hirsute et qui pue.
- J’aime beaucoup ce nouveau chanteur à
consonance ibérique : Perez
y Canción Francés y Fellación.
Mui authentico !
- Bootleg
vs Rocher de Palmer :
Bon, passons sur le nom de ce nouveau lieu, totalement nul, probablement
sorti de l’imagination délirante d’un prof de guitare de l’IREM, d’inspiration
hard-rock lignée DEF LEPPARD / IRON MAIDEN / SCORPIONS ou d’un stagiaire
de l’ICART d’inspiration Les soirées du Jeudi à la Victoire.
Il faut d’ailleurs noter, dans l’histoire du rock de ce Bordeaux, une
cruelle absence d’inspiration des taverniers, après des 1ers pas titubants
mais inspirés : le Pied, le Saint-Louis à Pessac, le Jimmy, le
Babylone, le Salon Jaune, Le Luxor, ça, ça sonnait …
Et puis après, plus rien, le Black-out total …
Le Performance ? L’Esquisse ? Les Nains de Jardin ? Le
Colombophile ? l’Inca ? le Fiacre ? le Faucon
Maltais ? le
Swing Marine ? le Krakatoa ? le Piranha ?
le Chicho ? Le Farenheit ? l’Antidote ? le Sonar ? le
Dorémi ? l’Apollo ? le Plug ? l’Heretic ? le Barclay ?
le CAT ? … ???
En faisant abstraction de ce blase sans saveur donc, ça fait plaisir de
voir le rock de nouveau matérialisé à Bordeaux, à travers ce lieu qui
suinte la sueur et la bière (à 3 euros quand-meme !), sur la route de
la rue de Madrid.
Cela fait un juste retour des choses après la prise de pouvoir, à la fin
du siècle dernier, de toutes ces Smacks de Ville dont la dernière en date,
à Palmer, fait plutôt penser à une annexe de la Clinique des 4 Pavillons
voisine qu’à un lieu ayant un quelconque rapport avec l’histoire du
r&r.
Dommage juste qu’ils aient pas poussé le bouchon encore un peu plus loin,
à Palmer, en dotant les hôtesses d’accueil de blouses d’infirmières suggestives
avec les décolletés qui vont bien car là, on serait rentré de plein pied
(plus exactement, à pleines mains) dans ce qu’il est convenu d’appeler
aujourd’hui le Spectacle Vivant, à la Dead Savary’s Magic
Circus ou Rocky Horror Pictures Show, toutes choses sans grand intérêt mais
qui font le bonheur des petits et des grands.
En vos applaudissements.
- Pipole
areuh, pipole sot :
A l’anniv’ de Ay (le
fameux noctambule Vicomte Aymeric de
Monségur de Bordoroques, pour les ceux qui sont à cheval (encore !)
sur les présentations en bonne et due forme), il y avait une très grande
majorité de gens généreux … ce qui n’est pas forcément le cas, cher
Passant de Bordeaux, dans tous les endroits prétendument
« cools » de la ville.
à faire keye donc.
- De
ce Grand Auditorium dont on nous rebat les oreilles :
Pour ceux qui n’auraient, du fait du silence gêné assourdissant entourant
la pathétique présidence de François II dit Le Flanby, eu vent de cette info catégorique et circonstanciée,
voici cet avis de tempête dans ta chetron : http://www.liberation.fr/culture/2013/02/01/bordeaux-l-auditorium-rate-le-coche_878714http://www.liberation.fr/culture/2013/02/01/bordeaux-l-auditorium-rate-le-coche_878714
J’en discutais récemment avec Dodo
la Saumure (qui a pas la langue dans sa poche, non plus, comme vous
savez) et qui émet une hypothèse intéressante à ce sujet. « Ils se
sont gourés à l’install’ ! les tocards de Rohan ! ils ont pris
les plaques en fer du pont Chat
bande, elle masse à la place des panneaux acoustiques en bois précieux
prévus pour masquer la misère de cet auditorium fait (ni à faire) par des
hommes de main italiens, proches du redoutable parrain Pistoletto, celui qui
nous avait, pourtant, déjà fait les poches … et pas qu’un peu.
De ce fait, je vous déconseille vivement l’utilisation de ce pont qui
pourrait s’avérer un peu fragile parfois, même s’il sonne divinement bien,
ce qui sont certes des qualités essentielles pour bien figurer aux
Victoires de la musique mais qui peuvent s’avérer mortifère pour le simple
automobiliste, par définition, sans talent.
- Té, en parlant de ces Victoires de la Musique, je crois
qu’on a touché là, cette année, au plus près de l’essence même de ce qui
fait la musique en France (*).
i.
Le spectacle proposé :
On a ainsi pu assister, tranquillement, sans bouger le petit doigt, comme qui
dirait, at home, à la maison, à un spectacle comme qui dirait, sans intérêt.
Hormis peut-être, si on veut vraiment se montrer un peu bon public, la choré
d’Orelsan un peu piquante, la dégaine improbable de ce Rover et un morceau un
peu moins chiant que d’habitude de notre super-ayrault Bio-lait, un peu moins
pasteurisé, un peu plus énergique peut-être, presque fun, bonnard & dansant.
ii.
Les techniciens :
Ce spectacle, de qualité artistique médiocre donc, a, de plus, été sonorisé par
des sonorisateurs soit totalement incompétents (**), soit bourrés comme des
coins, soit absents au moment des faits.
Il faut se souvenir que dorénavant, au XXIème siècle, contrairement, aux années
1962 (yéyés et autres scories typically french), cf (**) pour ceux qui
pensaient s’en tirer à bon compte sans lire ce putain de (**), au XXIème siècle
donc, disais-je avant que d’être interrompu, il y a moyen, en y mettant un peu
de bonne volonté et 2, 3 connaissances théoriques, de faire un son correct.
Bon, là, faut dire, « c’était pas des flèches aux manettes, c’était France
2 » (formule utilisée par la Filipetti
lors de l’épreuve Arbalète aux JO
de Nagano, pour
dénoncer l’état d’ébriété avancée de l’équipe de Stade II dès 9h du mâtin).
De plus, nos virtuoses sondiers aux grandes obarasses, surtout quand arrive
11h45 et la certitude d’un apéro, n’avaient eu que 1 semaine pour préparer ce
Grand spectacle, soit environ 12h de travail ce qui fait quand-même, faut bien
le reconnaître, un peu court pour avoir du bon son.
iii.
Le public (éduqué) :
Le public, pourtant composé
des derniers professionnels de la profession (une grosse centaine de derniers
mohicans avec des bagouses en or de 33800 Carats
(non, ils sont plus Cours de l’Argonne, ils sont à Bègles, ouais c’est ça, à
côté du RAMA … ouais, je sais, ouais …)) avaient l’air de s’en branler d’une
force … C’est ça le problème, quand plus personne raque, ça devient un peu à
toi à moi, tu vois ?
(*) Merci France 2
pour cette justesse de ton, pas toujours en vigueur chez ces « feignasses
qui se gobergent sur le dos du peuple exsangue qui n’en peut mais » comme
le soulignait si justement la Filipetti
à son UMP’s compagnon, après une énième saillie de haute volée.
(**) genre l’espèce
de mec, dans les early 80’s, où t’arrivais dans son studio, un peu anxieux, un
peu timide, tu faisais tant bien que mal ce que t’avais à faire, t’écoutais la
« mise à plat », comme il disait d’un air expert, ça avait l’air pas
trop mal et enfin tu revenais 2 ou 3 jours après, plein d’espoir, pour écouter
le mix final et payer ce technicien au poil qu’on t’avait vanté et tu repartais
chez toi, honteux, rasant les murs, comme si tu venais de te faire déflorer,
avec ta rondelle toute déformée de l’infamie qui te poursuivrait, toute ta vie
durant.
- Au début, il y eut Mink Deville.
Quelques années plus tard, de guerre lasse, Willy Deville, seul, reprit le
flambeau.
Aujourd’hui, ne reste plus rien … qu’une SMAC de villes, errant, patapan,
gros-jean comme devant …
- Et pendant ce temps-là, au RAMA, … allons voir de quel bois
se chauffe l’agenda dont on fait les cercueils …
AGENDA
Les événements
annoncés sur cette page ne sont pas ouverts au public (sauf mention
contraire).
Vous aurez noté, comme moi, l’intérêt relatif, pour le Passant de
Bordeaux, d’un Agenda dont il est, comme nos amis les chiens dans les
restaurants, prié d’aller faire ses besoins ailleurs.
Le 22 mars 2013 à 14h00 - Rendez-vous
avec le cabinet Presqu’Ile
Rendez-vous avec notre prestataire en
Responsabilité Sociétale des Organisations afin :
- de faire un point sur la phase de diagnostic en cours chez les adhérents
du RAMA et au RAMA,
…
Le 05 avril 2013 à
11h00 - Journée de travail avec le Pôle (RSO + Auto-diagnostic financier)
…
Après la Concertation
dont les retombées n’ont été, aux dernières nouvelles, ouvertes ni au
public, ni aux artistes, selon la procédure co-construite en vigueur, on
observe, avec les bribes d’information qui arrive à exfiltrer de ce
mausolée de la réflexion, à la manière des signaux de fumée du conclave
(*) Vatican IV (autre mission en perdition dans le CyberEspace Culturel
Leclerc de Ste Eulalie), que cet organisme mystérieux est visiblement
toujours en phase de diagnostic.
On peut, d’ores et déjà, donc, envisager, si besoin ?, le planning
prévisionnel suivant :
2015-2030 : croisement des diagnostics
2030-2045 : identification des scenarii d’amélioration du process
2045-2060 : mise en place pilote sur un des territoires (Les Landes,
par exemple, pour fêter les 25 ans de la disparition de Henri Emmanuelli
ou pour le 143ème anniversaire d’Olivier Roumat)
2060 : généralisation au territoire Aquitain
(*)
« conclave » qui contrairement aux idées reçues dans les écoles de
musique labellisées FNEIJMA (CIAM, ROCKSCHOOL, IREM, … et Ganter, il devient
quoi, au juste ?), n’est pas un joueur de percussion brésilienne aux
capacités intellectuelles réduites aux acquêts.
- Toujours pas de nouvelles de la Mission Lescure IV, perdue à
jamais aux confins (*) de la galaxie et de la barrière d’Arès, passé le
boulevard.
(*)
« confins » qui contrairement aux idées reçues dans les écoles de
Catering labellisées FNCETLESOLIVESELLESARRIVENTAPIEDOUQUOI? n’est pas une
fringale subite connue par un des musiciens et/ou techniciens du spectacle dont
au sujet duquel on assure le graillou, la victime en question de la fringale
présentant en outre des capacités intellectuelles réduites aux acquêts.
- Chez Taddeï, un soir, un mec (Emmanuel
Todd ?) a émis l’hypothèse que le projet pour la France de François Hollande était d’être élu
Président et de valider ainsi son destin d’exceptionnel.
Vous croyez que c’est possible, vous, un truc pareil ?
- Pour finir une perle, que j’avais
quelque peu oubliée en chemin … extraite d’une de ces délicieuses
publications institutionnelles dont on sent suinter l’implication des
acteurs à chaque bout sanguinolent de paragraphe …
Constat gravosse : les communicants ont besoin de
vacances. Définitives de préférence.
Et pour illustrer
cette ribambelle de petites chamailleries, de faillites frauduleuses, de simples
défaillances et de déchéances aux chansons, au jour le jour, prenons l’exact
contre-pied de ce Pérez, qui a force de sucer les roues de ce qui marche va
finir par se coincer la bite dans les rayons, j’ai nommé ce duo au nom si
singulier, ARLT … découverts sur les
conseils toujours judicieux du Vicomte Séron de Polder de Paris Saint-Germain.
Pour rester dans la
thématique du post précédent, j’ai choisi de mettre en avant ce titre au fumet
étrange qui sent la fusion de 2 mondes connexes mais toujours al dente comme
naguère, les cannellonis des sœurs à Michou.
« Tu m'as encore
crevé un cheval », ça a une autre gueule comme titre que Bootleg,
non ?
Numéro
de commande : 0UP1IUE9N85OI Vendu par Fnac.com Feu la figure Arlt (CD album)
Livraison Rapide 18 €