chez odette

"Chez Odette, on se félicite du chant en français et on est infiniment reconnaissant du service de qualité rendu par cette vieille maison qui célèbre la chanson française: la SACEM." Terrain Hostile.

dimanche 24 mars 2013

actumolle #21_1303 C’est à Bordeaux qu’on dépouille les vieilles


écoute voir, vieux, avec ton sonotone ou bien ton rockotone ...
(musique : remix à la C2C de André Rieu (refrain), Human league (couplet))


C’est à Bordeaux qu’on dépouille les vieilles
C’est à Bordeaux qu’on leur pique leurs cailloux
C’est à Bordeaux qu’on dépouille les vieilles
C’est à Bordeaux qu’on les pousse dans le trou

Dans les années 2006, la bande à Lhérété,
A écumé le quartier des Chartrons,
Qui regorge de vieilles rombières farcies à la quincaillerie.
La 1ère fut Jeanine Terrasson qu’ils délestèrent de quelques bricoles.

Car …

C’est à Bordeaux qu’on dépouille les vieilles
C’est à Bordeaux qu’on leur pique leurs cailloux
C’est à Bordeaux qu’on dépouille les vieilles
C’est à Bordeaux qu’on les pousse dans le trou

Dans les années 2012, on fit même enseignement
Des techniques de base de ce nouveau prélèvement.
Le 1er diplômé fût un étudiant hongrois de petite taille et très agité
Qui réussit son examen, en présentant quelques Richelieux subtilisés à une Bettencourt

Car …

C’est à Bordeaux qu’on dépouille les vieilles
C’est à Bordeaux qu’on leur pique leurs cailloux
C’est à Bordeaux qu’on dépouille les vieilles
C’est à Bordeaux qu’on les pousse dans le trou

Oh Toi, oh mon ami, victime aussi d’une vieille,
Envoie là en croisière visiter le Pont Forban Delmas
On t’en retournera que ce qui brille, t’inquiètes
Et ce, contre une fort modique commission prélevée à la source, indolore.

Car …

C’est à Bordeaux qu’on dépouille les vieilles
C’est à Bordeaux qu’on leur pique leurs cailloux
C’est à Bordeaux qu’on dépouille les vieilles
C’est à Bordeaux qu’on les pousse dans le trou


Le pont Forban Delmas ? Marc Delmas ? Hugues Delmas ? Qui ça ?

mardi 19 mars 2013

Vachettes d’Hiver (hiver 2012-2013)


Putain, quelle semaine ! Apprenant par hasard que j’avais 3 lecteurs (dont 2 filles, con !) qui appréciaient mon style cavalier (c’est bon, on a compris, aux tomates …), je me dis : « je vais t’y recharger ma petite fabrique à vacherie et te leur faire péter une tournée d’hiver de vachettes, en préchauffe, ça va pas tarder !
Un peu à la manière de ce Primavera qui vient tenter de redorer le blason de cette Rockschool qui n’en finit plus de Rouxcouler des vieux jours sur les cendres du r&r qu’elle contribua à occire, à grands coups de médiations.

IF
[Peu intéressé par les choses de la politique ou de droite (probablement la même chose, mais sait-on jamais ? si l’on se réfère au principe de précaution, cher aux couilles molles en général et à François Hollande, en particulier, 2 précautions valent mieux qu’une Taubira … ou une Tabarot, selon les affinités …)]
GOTO
[Moutons-chevaux]
Spécial dédicace aux forains de la Foire aux plaisirs qui, préférant l’action aux jérémiades au JT, ont ouvert des perspectives dans le dialogue social, en décidant d’aller casser la gueule et autres accessoires à un nouveau concurrent, con-cul-rohan serait plus juste en l’au-cul-rance,  nouveau con-cul-rohan qui n’emploie qu’une dizaine de personnes alors que la Foire aux plaisirs c’est environ 500 personnes, depuis Vercingétorix, qui en vivent.
Voilà une piste (aux étoiles) intéressante par les temps qui courent (hue cocotte …), contre la crise et le chômage galopant (je vous demande de vous arrêter !), dont on ne parle pas assez : quand un nouveau concurrent essaie de passer en force en essayant de casser le modèle en place, on lui casse la gueule et autres gadgets décoratifs.
Ce que Orange & SFR auraient été bien inspirés de faire avec ce sinistre bonhomme, Niel, qui rappelle (en PCV) plus le fiel que le miel … tiens, tiens, Niel, ça vous rappelle pas une autre entourloupe locale, ça ?
Mais, nous y reviendrons sûrement, plus avant, s’il reste du carburant dans la machine à dézinguer.

Parce qu’en fait, y a un truc qui m’échappe dans cet OM2mC (Organisation Mondiale de mes Couilles): la concurrence, ça apporte quoi, au juste, à tout un chacun ? hein ? ça profite à qui, en fait, ce truc ? hein ? à part au consommateur de mes couilles qui veut jamais rien payer ? hein ? alors pourquoi donc l’Europe veut-elle imposer la concurrence à tous les étages ? hein ? comment qu’ils ont encore réussi à en croquer, ces fumiers ? hein ?

[Moutons-chevaux]
Bon revenons à nos moutons de Pauillac …

1.  J’ai reçu dernièrement la Newsletter de la Friche Belle de Mai, du nom de ce remarquable Ensemble (on parle aussi d’Outil, en Novlangue) culturel marseillais dont au sujet duquel ils nous ont mis la branlasse dont même les draps se souviennent, vous vous rappelez ?
Je suis allé faire un tour virtuel à Marseille pour savoir comment ces fadas s’y étaient pris pour enfumer leurs institutionnels (sûrement aussi marioles que les nôtres) et leur faire cracher les pépettes qui permettent, même en temps de disette, des trucs-bidules-machins-chouettes, en pure perte. Et … à l’anisette … bien sûr, sur ce territoire si pittoresque.
http://www.lafriche.org/content/1992-%E2%80%93-2013

Enfin, voici ce qu’il advint, au pays p-a-p-in,
Et qui fit qu’à la fin, ils furent eux et dégun.
(Epître de Voltaire à José Anigo, vers l’an 1736)

Alors que les grues de la désolation passent sous mes fenêtres pour éradiquer définitivement l’austère bâtiment culturel (face au majestueux open-space éco-créatif), envisagé un temps, dans un moment d’égarement romantique, très rare chez le modèle de sorcières en vigueur à Rohan (Alain, Michel, Dominique, Jean-Charles, Pierre, Stéphan, pour ne citer que les plus célèbres de ces courtisanes mal intentionnées, mais, au fait, il en manque une, dont j’ai malencontreusement oublié le blase, Hubert ? Huguenot ? Hugo ? Hüsker Dü ? ah, beh, non, ça ne me revient pas, c’est balot !).
Heureusement, le mascaret éco-créatif purificateur est venu balayer son trottoir de cette vermine qui rampait dans sa direction pour demander la pièce.
Mais l’Histoire, dans sa grande sagesse, a, depuis bien longtemps, déjà tranché entre les Darwinistes et les Créationnistes de tous poils, entre le Créateur, l’Auteur-Compositeur-Interprète, le Producteur et le Consommateur toujours épris de liberté, capable d’ingénieux stratagèmes pour garder son pécule intact, entre la Création envisagée comme une dépense inutile et le Loisir créatif, ultime avatar de l’élévation de l’homo sapiens vers son idéal au ciel, hirsute et qui pue.

  1. J’aime beaucoup ce nouveau chanteur à consonance ibérique : Perez y Canción Francés y Fellación.
    Mui authentico !

  1. Bootleg vs Rocher de Palmer :
    Bon, passons sur le nom de ce nouveau lieu, totalement nul, probablement sorti de l’imagination délirante d’un prof de guitare de l’IREM, d’inspiration hard-rock lignée DEF LEPPARD / IRON MAIDEN / SCORPIONS ou d’un stagiaire de l’ICART d’inspiration Les soirées du Jeudi à la Victoire.
    Il faut d’ailleurs noter, dans l’histoire du rock de ce Bordeaux, une cruelle absence d’inspiration des taverniers, après des 1ers pas titubants mais inspirés : le Pied, le Saint-Louis à Pessac, le Jimmy, le Babylone, le Salon Jaune, Le Luxor, ça, ça sonnait …
    Et puis après, plus rien, le Black-out total …
    Le Performance ? L’Esquisse ? Les Nains de Jardin ? Le Colombophile ? l’Inca ? le Fiacre ? le Faucon Maltais ? le Swing Marine ? le Krakatoa ? le Piranha ? le Chicho ? Le Farenheit ? l’Antidote ? le Sonar ? le Dorémi ? l’Apollo ? le Plug ? l’Heretic ? le Barclay ? le CAT ? … ???
    En faisant abstraction de ce blase sans saveur donc, ça fait plaisir de voir le rock de nouveau matérialisé à Bordeaux, à travers ce lieu qui suinte la sueur et la bière (à 3 euros quand-meme !), sur la route de la rue de Madrid.
    Cela fait un juste retour des choses après la prise de pouvoir, à la fin du siècle dernier, de toutes ces Smacks de Ville dont la dernière en date, à Palmer, fait plutôt penser à une annexe de la Clinique des 4 Pavillons voisine qu’à un lieu ayant un quelconque rapport avec l’histoire du r&r.
    Dommage juste qu’ils aient pas poussé le bouchon encore un peu plus loin, à Palmer, en dotant les hôtesses d’accueil de blouses d’infirmières suggestives avec les décolletés qui vont bien car là, on serait rentré de plein pied (plus exactement, à pleines mains) dans ce qu’il est convenu d’appeler aujourd’hui le Spectacle Vivant, à la Dead Savary’s Magic Circus ou Rocky Horror Pictures Show, toutes choses sans grand intérêt mais qui font le bonheur des petits et des grands.
    En vos applaudissements.

  1. Pipole areuh, pipole sot :
    A l’anniv’ de Ay (le fameux noctambule Vicomte Aymeric de Monségur de Bordoroques, pour les ceux qui sont à cheval (encore !) sur les présentations en bonne et due forme), il y avait une très grande majorité de gens généreux … ce qui n’est pas forcément le cas, cher Passant de Bordeaux, dans tous les endroits prétendument « cools » de la ville.
    à faire keye donc.

  1. De ce Grand Auditorium dont on nous rebat les oreilles :
    Pour ceux qui n’auraient, du fait du silence gêné assourdissant entourant la pathétique présidence de François II dit Le Flanby, eu vent de cette info catégorique et circonstanciée, voici cet avis de tempête dans ta chetron :
    http://www.liberation.fr/culture/2013/02/01/bordeaux-l-auditorium-rate-le-coche_878714http://www.liberation.fr/culture/2013/02/01/bordeaux-l-auditorium-rate-le-coche_878714
    J’en discutais récemment avec Dodo la Saumure (qui a pas la langue dans sa poche, non plus, comme vous savez) et qui émet une hypothèse intéressante à ce sujet. « Ils se sont gourés à l’install’ ! les tocards de Rohan ! ils ont pris les plaques en fer du pont Chat bande, elle masse à la place des panneaux acoustiques en bois précieux prévus pour masquer la misère de cet auditorium fait (ni à faire) par des hommes de main italiens, proches du redoutable parrain Pistoletto, celui qui nous avait, pourtant, déjà fait les poches … et pas qu’un peu.
    De ce fait, je vous déconseille vivement l’utilisation de ce pont qui pourrait s’avérer un peu fragile parfois, même s’il sonne divinement bien, ce qui sont certes des qualités essentielles pour bien figurer aux Victoires de la musique mais qui peuvent s’avérer mortifère pour le simple automobiliste, par définition, sans talent.

  1. Té, en parlant de ces Victoires de la Musique, je crois qu’on a touché là, cette année, au plus près de l’essence même de ce qui fait la musique en France (*).
                                                        i.      Le spectacle proposé :
On a ainsi pu assister, tranquillement, sans bouger le petit doigt, comme qui dirait, at home, à la maison, à un spectacle comme qui dirait, sans intérêt.
Hormis peut-être, si on veut vraiment se montrer un peu bon public, la choré d’Orelsan un peu piquante, la dégaine improbable de ce Rover et un morceau un peu moins chiant que d’habitude de notre super-ayrault Bio-lait, un peu moins pasteurisé, un peu plus énergique peut-être, presque fun, bonnard & dansant.
                                                   ii.      Les techniciens :
Ce spectacle, de qualité artistique médiocre donc, a, de plus, été sonorisé par des sonorisateurs soit totalement incompétents (**), soit bourrés comme des coins, soit absents au moment des faits.
Il faut se souvenir que dorénavant, au XXIème siècle, contrairement, aux années 1962 (yéyés et autres scories typically french), cf (**) pour ceux qui pensaient s’en tirer à bon compte sans lire ce putain de (**), au XXIème siècle donc, disais-je avant que d’être interrompu, il y a moyen, en y mettant un peu de bonne volonté et 2, 3 connaissances théoriques, de faire un son correct.
Bon, là, faut dire, « c’était pas des flèches aux manettes, c’était France 2 » (formule utilisée par la Filipetti lors de l’épreuve Arbalète aux JO de Nagano, pour dénoncer l’état d’ébriété avancée de l’équipe de Stade II dès 9h du mâtin).
De plus, nos virtuoses sondiers aux grandes obarasses, surtout quand arrive 11h45 et la certitude d’un apéro, n’avaient eu que 1 semaine pour préparer ce Grand spectacle, soit environ 12h de travail ce qui fait quand-même, faut bien le reconnaître, un peu court pour avoir du bon son.
                                              iii.      Le public (éduqué) :
Le public, pourtant composé des derniers professionnels de la profession (une grosse centaine de derniers mohicans avec des bagouses en or de 33800 Carats (non, ils sont plus Cours de l’Argonne, ils sont à Bègles, ouais c’est ça, à côté du RAMA … ouais, je sais, ouais …)) avaient l’air de s’en branler d’une force … C’est ça le problème, quand plus personne raque, ça devient un peu à toi à moi, tu vois ?

(*) Merci France 2 pour cette justesse de ton, pas toujours en vigueur chez ces « feignasses qui se gobergent sur le dos du peuple exsangue qui n’en peut mais » comme le soulignait si justement la Filipetti à son UMP’s compagnon, après une énième saillie de haute volée.

(**) genre l’espèce de mec, dans les early 80’s, où t’arrivais dans son studio, un peu anxieux, un peu timide, tu faisais tant bien que mal ce que t’avais à faire, t’écoutais la « mise à plat », comme il disait d’un air expert, ça avait l’air pas trop mal et enfin tu revenais 2 ou 3 jours après, plein d’espoir, pour écouter le mix final et payer ce technicien au poil qu’on t’avait vanté et tu repartais chez toi, honteux, rasant les murs, comme si tu venais de te faire déflorer, avec ta rondelle toute déformée de l’infamie qui te poursuivrait, toute ta vie durant.

  1. Au début, il y eut Mink Deville.
    Quelques années plus tard, de guerre lasse, Willy Deville, seul, reprit le flambeau.
    Aujourd’hui, ne reste plus rien … qu’une SMAC de villes, errant, patapan, gros-jean comme devant …

  1. Et pendant ce temps-là, au RAMA, … allons voir de quel bois se chauffe l’agenda dont on fait les cercueils …
    AGENDA
    Les événements annoncés sur cette page ne sont pas ouverts au public (sauf mention contraire).

    Vous aurez noté, comme moi, l’intérêt relatif, pour le Passant de Bordeaux, d’un Agenda dont il est, comme nos amis les chiens dans les restaurants, prié d’aller faire ses besoins ailleurs.

    Le 22 mars 2013 à 14h00 - Rendez-vous avec le cabinet Presqu’Ile
    Rendez-vous avec notre prestataire en Responsabilité Sociétale des Organisations afin :
    - de faire un point sur la phase de diagnostic en cours chez les adhérents du RAMA et au RAMA,

    Le 05 avril 2013 à 11h00 - Journée de travail avec le Pôle (RSO + Auto-diagnostic financier)

    Après la Concertation dont les retombées n’ont été, aux dernières nouvelles, ouvertes ni au public, ni aux artistes, selon la procédure co-construite en vigueur, on observe, avec les bribes d’information qui arrive à exfiltrer de ce mausolée de la réflexion, à la manière des signaux de fumée du conclave (*) Vatican IV (autre mission en perdition dans le CyberEspace Culturel Leclerc de Ste Eulalie), que cet organisme mystérieux est visiblement toujours en phase de diagnostic.
    On peut, d’ores et déjà, donc, envisager, si besoin ?, le planning prévisionnel suivant :
    2015-2030 : croisement des diagnostics
    2030-2045 : identification des scenarii d’amélioration du process
    2045-2060 : mise en place pilote sur un des territoires (Les Landes, par exemple, pour fêter les 25 ans de la disparition de Henri Emmanuelli ou pour le 143ème anniversaire d’Olivier Roumat)
    2060 : généralisation au territoire Aquitain

(*) « conclave » qui contrairement aux idées reçues dans les écoles de musique labellisées FNEIJMA (CIAM, ROCKSCHOOL, IREM, … et Ganter, il devient quoi, au juste ?), n’est pas un joueur de percussion brésilienne aux capacités intellectuelles réduites aux acquêts.

  1. Toujours pas de nouvelles de la Mission Lescure IV, perdue à jamais aux confins (*) de la galaxie et de la barrière d’Arès, passé le boulevard.

(*) « confins » qui contrairement aux idées reçues dans les écoles de Catering labellisées FNCETLESOLIVESELLESARRIVENTAPIEDOUQUOI? n’est pas une fringale subite connue par un des musiciens et/ou techniciens du spectacle dont au sujet duquel on assure le graillou, la victime en question de la fringale présentant en outre des capacités intellectuelles réduites aux acquêts.

  1. Chez Taddeï, un soir, un mec (Emmanuel Todd ?) a émis l’hypothèse que le projet pour la France de François Hollande était d’être élu Président et de valider ainsi son destin d’exceptionnel.
    Vous croyez que c’est possible, vous, un truc pareil ?

  1. Pour finir une perle, que j’avais quelque peu oubliée en chemin … extraite d’une de ces délicieuses publications institutionnelles dont on sent suinter l’implication des acteurs à chaque bout sanguinolent de paragraphe …

Constat gravosse : les communicants ont besoin de vacances. Définitives de préférence.



Et pour illustrer cette ribambelle de petites chamailleries, de faillites frauduleuses, de simples défaillances et de déchéances aux chansons, au jour le jour, prenons l’exact contre-pied de ce Pérez, qui a force de sucer les roues de ce qui marche va finir par se coincer la bite dans les rayons, j’ai nommé ce duo au nom si singulier, ARLT … découverts sur les conseils toujours judicieux du Vicomte Séron de Polder de Paris Saint-Germain.

Pour rester dans la thématique du post précédent, j’ai choisi de mettre en avant ce titre au fumet étrange qui sent la fusion de 2 mondes connexes mais toujours al dente comme naguère, les cannellonis des sœurs à Michou.
« Tu m'as encore crevé un cheval », ça a une autre gueule comme titre que Bootleg, non ?

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vendredi 8 mars 2013

actumolle #20_1302 Cheval, oh, mon cheval aux tomates


désolé pour ce silence radio mais je suis en train de mettre la touche finale à mon réseau social à moi tout seul, Carnet2bal et ça laisse peu de temps pour la gaudriole. désolé aussi de ne pas avoir réagi à la poésie bien foutue de mon fidèle anonyme. hip hip ...

Ecoute voir l'éternel cheval fiscal s'envoler vers ses paradis fiscaux immaculés ...

G G/E {C7M C7M/Db C7M/B} B7M/F (1x434x) Bb7M/F (1x323x) fin B7M/F (1x434x) B7M/Gb (2x434x) B7M/G (3x434x) C7M/G C7M/Ab …

Cheval, noble cheval,
Parti de Roumanie au petit trot,
T’as fini seul dans ton lit, dans ton coulis de tomate.
Cheval …
Hip, hip

Cheval, la horse, cheval,
Passé par Chypre en coup de vent,
Puis au Pays-bas au petit pas, puis au galop chez Spanghero (en Spagh bolo)
Cheval, oh mon cheval aux tomates.
Hip, hip

Hip, hip

Cheval, la mie de la femme,
Potiok au milieu des purs sang,
Cheveux au vent, épousant des normandes, faisant la cour à des blondes d’Aquitaine …
Cheval, oh mon cheval aux tomates.

Hip, hip

Tout doux, gentil, gentil, le cheval, oh la, c’est ça, c’est bon, comme ça, au pas, au pas, au pas cadencé, au pas, au pas, hip, hip

Lasagne à Castelnaudary,
Tartare au piment d’Espelette à Baïgorry.
Couler ses vieux jours au four condensé,
Au pas, au pas, au pas cadencé.
Pour un thym parfait, un masque de beauté au coulis de tomate,
Au pas, au pas, au pas cadencé.

« Heureusement qu’il y avait la coop, sinon je la prenais en nom propre. » Walter Spanghero