chez odette

"Chez Odette, on se félicite du chant en français et on est infiniment reconnaissant du service de qualité rendu par cette vieille maison qui célèbre la chanson française: la SACEM." Terrain Hostile.

samedi 2 mai 2015

Vachettes de printemps 2015 [spécial musiques métissées]

Je vous demande de vous arrêter de reggaer bêtement aux corneilles.
De toutes façons en reggae, c’est bien connu, y'a eu Bob et après moi le déluge.
D’ailleurs, Sud-Ouest a vu aussi (comme tout le monde), de gros nuages arriver par la Presqu’ile du médoc où on peut aussi croiser en promenade, quand le plafond est bas, des Presqu’humains.
Alors, quand ces drôles de pieds de bamboule rastafari ont commencé à pousser anarchiquement au milieu des cèpes séculaires qui nous procuraient notre seul intérêt terrestre, nous autres girondingues, pour la meute habituelle des wisigoths et autres touristes à nos portes, doriphores, fridolins, notre seul intérêt terrestre, notre seul intérrestre pourrait-on dire, notre intra-terrestre, notre intestin leste, intestin céleste, intespalimpseste chié et rechié … tintin et miloud.
Au fait, à ce sujet, rip daevid (aurait pris la tangente sur sa théière volante, comme ça, sans prévenir … pas très médocain comme attitude …), on te réserve les meilleurs asticots de nos meilleurs camemberts médocaïn (dont l’œil était dans la tombe mais nous le verrons plus tard) pour venir te récurer au plus prêt les petits osselets hallucinogènes au bas du dos, aux petits os, gnons, moignons, veaux, vaches, cochons, curés, daevid.
Mais, revenons à nos moutons, agneau de Jah, agneaux de Pauillac, courrez, mais courrez donc, rastas, du Pian à Castelnau Médoc … où on vit jaillir, jadis, du temps du Lamaison Télécom, il me souvient, un CPA, un authentique Centre de Préparation des Annuaires, éructer ses pages jaunes à la face du monde, interdit.
Oulala, il est pas un peu strongue ton jaja, cette année, non, doudou, dis donc ?
Maintenant pensez-vous, les pages jaunes empruntent plus sagement les autoroutes de l’information et les vaches seront bien gardées.
Lorsqu’elles sont manifestement trop indisposées (les pages jaunes), on les consigne, le temps que ça s’estompe, dans des placards de la république où gisent encore bien des cadavres encore fumant, encore tarboulant, pourtant plein d’allant puisque ça avait fini par s’estomp it up, pump it up, pump up the jam.

Maintenant voilà t’y pas, pour couronner Ledu (Letout était déjà couronné aux dernières nouvelles, figurez-vous que Ledu est réputé sans emploi en ce moment, depuis la désaffection de St-Paul au profit de St-Mich’, en ce sens qu’on ne sait trop comment l’employer, au mieux des intérêts collectifs : en déboucheur 3ème age, très peu servi, faites une proposition ? en déflorateur d’intérieur d’appartement cosy gentrifiés double épaisseur ? ou, plus classiquement, en statue Un habitant du quartier de St-Paul au début du 3ème millénaire) ?
Et, sur ces entrefêtes, voilà t’y pas, mon général, qu’on accuse, un matin sans prévenir, un sans grade, une petite main, un genre de backliner, un de ces petits cons de scout vegan vaguement iconoclaste (par un lointain cousin de Bordeaux, plus évolué, précisément du nec plus ultra, du bled, 4ème arrondissement pour les mous du bulbe des autres quartiers qui l’avait oublié, comme toujours, ils oublieraient même comment obéir à leur bourreau !).
Voilà t’y pas.

Ce coupable idéal, au visage d’ange (en cours de cépification noueuse « vieilles vignes » cependant, ces dernières années) répond au nom de Lachaize [empaillée] et on l’accuse d’avoir utilisé son assoce sacerdoce en fil d’écosse comme un strapontin, un marche-pied ou crève-pied, un crève cœur ou jambon beurre pour se faire un petit Sam Suffit, en 1ère ligne à la Le Paon, ce drôle d’oiseau qui en déployant sa drôle de queue affriolante voulait faire oublier ses propres turpitudes au public bon enfant qui pouvait alors nous soulager sans encombres les bourses et sans porter plainte en suivant, comme par hypnose (*), aux seules frais de la princesse (Erika, toutes autres rumeurs au http://fr.mediamass.net/people/princess-erika/rumeurdeces.html) … sans bourses ni zob délier (beh oui … c’t’à dire que j’avais écrit cette chute avant la digression du milieu qui annule totalement l’effet initial mais, à la fois, on s’en branle un peu, non ?).
(*) qui n’est pas mais pas du tout une tentative de fusion entre hip-hop et noise qui se dirait plutôt hipnoise et c’est pas vraiment pareil !
Vous y allez fort, vous autres, mousquetaires de l’information (*), et qui vous dit que vous n’auriez point fait de même si vous aviez réussi votre vie au point de n’être pas de votre côté du stylo bic mais de l’autre, sur le papier ?
Au lieu de ça, vous préférez vous retrouver entre ratés sur la terrasse du quai Branly, au vu et au suce de toutes les têtes de nœuds empruntant cet itinéraire nul bien que face à la bourse qui vous fascine, vous autres à vous branler la nouille en fumant des lucky strike pour vous donner un genre cow-boy de l’information, mousquetaires de Lupiac (32, près Vic-Carensac) de mes roustons (from the english familiar « rough town » : « qui se branle la nouille »).
D’Artagnan, soit dit en dansant, qui d’après Wikidimerdakilira est un homme de guerre français né entre 1611 et 1615 au château de Castelmore, près de Lupiac, en Gascogne (dans le département actuel du Gers) et mort à Maastricht durant le siège du même-nom le 25 juin 1673, pendant la guerre de Hollande.
Mort à Masstricht … pendant la Guerre de Hollande …
Doit-on voir dans cette destinée qu’on aimerait tant chantée par Guy Marchand, un avertissement de nos ancêtres gascons à leurs rejetons si décevants, leurs déjections de zob, ces gaz cons qu’on voudrait suivre les yeux fermés jusqu’à L'Isle-de-Noé voire St-Jean Pied de Poutges, ces gars abscons, qui ne surent jamais comprendre ce message pourtant limpide, trop occupés qu’ils étaient, surtout vers Sauveterre de Guyenne, à essayer de justifier l’injustifiable, l’existence de musiques actuelles, malgré la faible qualité du rendu (qu’on qualifiait parfois de bouillie bordelaise aussi voire de vomi, c’est dire … surtout quand ça se voulait chanté en français) et qui n’arrivait même plus à faire danser le prospect (youp la boum, il va sans dire), fusse t’il over bourré comme le chef des sauveterrestres à Garorock (à l’exter’) dès 21h ou épileptique comme un fonctionnaire des impôts de Macclesfield, hors les murs de son bureau (on stage pourrait-on dire) ou, enfin, arrivé au sommet, touché par un autre hélicoptère en proie à un jeu.
Donc les jaloux, au paroxysme de leur pause (pose ?) cigarette, quai de Queyries, rient de quoi, rient de toi, rient de qué, rient de qué rient, qué de qué rient. Et aussi imaginent, fielleux comme pas d’eux, fielleux comme bloggeur que le st-bernard du médoc, Lachaize [empaillée] aurait triché.
Que Lachaize [empaillée] serait au Reggae ce que Cahuzac fût au Budgae.

Comme Guéant [Claude aka Khaled Bugshan en Arabie saoudite où il aurait eu une double vie et une 2ème à 33ème femme à turlute] et son peintre batave, que dis-je batave ? bar-cave peut-être ? betterave sans doute ? baveducrapaudn’atteintpaslablanchecolombe schneck certainement ! espérait-il secrètement, comme on l’amenait prestement au TGI de Romorantin avouer son penchant pour les journalistes intelligentes, charpentées et dotées d’un prénom en 19 syllabes.
Comme Guéant, disais-je, avouant qu’il avait vendu à ce Bugshan (à lui-même donc !) une croute de betterave au cul main 500000 euros quand il en coûtait 4,50 aux établissements Philippe Ginestet à Villeneuve sur Lot, au début des années quatre nains.
Comme Guéant qui objectait, malin comme un singe de Guyenne, qu’il ne pouvait offrir à ses 33 femmes des cadeaux à 500000. Par contre, à 4,50, c’était jouable.

Comme un géant, Comme un géant, Quand on est aimé, On peut tout faire, je crois.

(*) j’ai longtemps hésité avec « moustiquaires de l’information » où j’aurais pu, tout aussi bien, tenter de crever l’abcès de ces pseudo-journalistes qui adressent à qui meuh meuh, à qui veut bien encore les calculer, à une heure avancée où les rotatives ont transformé leurs rotations en tournées à toi à moi, rotant toujours plus fort, toujours plus haut, toujours plus longtemps, plutôt quand la nuit est tombée, vous l’aurez compris, à cette heure tardive, ces pseudo-journalistes sortent le bout de leur nez, in finez, et adressent des piques au plus charnu, au plus avenant des monticules et aussitôt s’échappent comme péteux, courant à l’autre bout de la chambre à coucher (pensant qu’on pourra pas monter au mur pour venir leur expliquer notre position, à grand coup d’édito ou d’annuaire des pages jaunes de St-Laurent Médoc dans la gueule ou dans le pif, tiens, tiens … Avant la vente du CPA au fonds de pension américain qui n’avait pas que ça à foutre non plus et qui n’avait pas mais alors pas du tout l’esprit Sud-Ouest.
Comme nous le verrons plus tard.
Qui a eu le dernier mot de ces GEMA ou de ces MIRCTA ? [remake pour les banlieues industrieuses laborieuses y métissé]
Dans le rôle du chef de gang des GEMA, Tonton David, dans icelui des MIRCTA, Pierpoljak.

Ainsi, dans le cadre du programme d’intégration porté par la Smack de ville des Coteaux Riants de Bordeaux Blanc Supérieur AOC de l’égalité, nous avons proposé aux populations indigènes un jeu.

Tonton David est, vous le savez tous, depuis son premier caca, un modèle d’intégration … dernièrement il animait un feu d’arties fesses, pensant sûrement à tous ces congénères appelés Fetnat.
Pierpoljak est un modèle de désintégration … un blanc qui se voudrait noir, rien que ça … un genre de Mickael Jackson négatif qui aurait tout merdé aux derniers championnats district de Roi de la Pop (un genre de Biche d’or, à Palmer), sur un dernier émo-salto misérable presque bluesy.
Pourquoi pas se rêver en nougat rose, non plus, pour éviter d’aller, tous les matins, travailler à Mérignaque, comme tout le monde, et se farcir les discussions des collègues de travail, travaillant inlassablement les diverses mimiques à produire en cas d’affirmation sans le moindre intérêt ?
Quand d’autres jean-foutre travaillent leur Moon Walking et leur jeté de jambe pour faire pâmer les copines de la télé comme cette Christine et ces copines, queens, reines du lêche-vitrine.
Tiens et si j’essayais, Lundi, pour marquer mon étonnement, la perplexité de GEMA apprenant au tournant de l’an 2K00 que MIRCTA était également philatéliste.

Au fait, à ce sujet, j’ai (enfin) compris le reproche fait par les musulmans à ceux qui voudraient qu’ils se déclarent les ennemis des intégristes mais qui ne voient pas pourquoi on les assimile à ces énergumènes et en quoi ils pourraient améliorer l’ordinaire de la victime des attentats.
Une fois de plus, comme rattrapés in finez, à Suez, par un brouillard digne du coran d’ta mère et toujours pollué par ce petit côté pas franc du collier, sournois, mesquin qui leur avait été attribué, à tort ou à raison, par les 1ers racistes, du temps de Ali-baba (et déjà ces 40 voleurs mauresques si pittauresques) d’où la gégène utilisée (à regret) parfois pour recoller les parties de cet être fuyant à la Vérité occidentale.
Et donc, une fois de plus, depuis l’arrêt de l’utilisation de la Gégène pour tenter d’y voir plus clair, les hérétiques ont très mal expliqué leur position.
Comme souvent, il suffisait d’illustrer son propos, comme jadis Hergé et son tintin chez les arabes, où on comprenait aisément pourquoi le héros rasait les murs quand il avait à se rendre en arabie pour affaires.
C’est un peu comme, lors d’une assemblée où il y a manifestement personne (cf dernier concert de aksak maboul à l’i-boat, sûrement à cause de cette connotation bougnoule dans un lieu qui n’accepte que les blancs), de reprocher aux présents l’absence des absents en s’appuyant sur le fait qu’ils font partie de la même communauté (de parasites) puisqu’ils avaient été associés dans l’invitation à cette manifestation.
Comprenant les infidèles, peut-être comprendrais-je aussi cette objection faite par cette autre minorité trop visible à l’écran dont on aimerait enfin se débarrasser le plancher des lâches, minorité qui s’attribue rien moins, de par une mauvaise foie qui se traduit par une mauvaise à l’Aisne (02), que l’Origine du monde à l’endroit de cette touffe en plein dans ta face, bouffon d’ta mère.
Pour éviter de trancher, comme souvent les pleutres, on envoya donc Tonton David reggaer en Lorraine aux fêtes nationales quand Pierpoljak, qui avait plus le pied marin, se chargeait d’animer des croisières à gros cons en méditerranée, qui malheureusement ne coulent, elles, flottant sur des résidences dignes de l’Avenue Thiers vers un avenir grautesque.
Il se disait dans les milieux mediaticomicorrectifs que TF1 serait en train d’arraisonner un compagnie d’hélicoléoptères pour envoyer directement ses MC au ciel où ils pourront reggae jusqu’à plus soif pour le plus grand plaisir des petits et des grands (cons).
Quel est le point commun entre le St-Ex et le Booboo’z ?
Le point commun, à Bordeaux, c’est pas compliqué, c’est soit :
  • Le Terroir, soit …
  • Shah bande, elle masse, soit …
  • Franciiiissse (celui qui vint de Corrèze, comme Moueix et Jeannoueix avant lui, un jour de 82, envoyer des Trash et des Slash à la face du Passant de Bordeaux, tout juste identifié, bien avant que d’autres vinssent de Sauveterre de Guyenne noyer notre vieil ami Passant sous un flot de Smacks excessif, trop baveux, vous, en con, viendrez, ce Francis issu de Corrèze donc et non pas celui qui se terre à Astaffort, attendant la mort – du Ttoro, de la Sarbacane ou de lui-même), soit …
  • Gwardeath, le futur 1er magistrat (par ordre d’apparition sur la scène médiaticotropolitaine pour être honnête).
Le prochain de la liste, je vous mets un billet que c’est un descendant de ces garagistes pompiers hautains, toujours juchés sur leurs échelles double, Place Renaudel (ou de Nansouty, au pire, si institutionnalisés entre temps).
Ou peut-être même un de ces nouveaux crâneurs en gelée royale pour assurer correctement la transition énergétique avec la suite de ce récit palpitant, aux papilles autant.
Mais revenons sur le dernier en datte, le ci-devant Gouardes (avant que de se mettre au garage), venu des Landes, lui.
En effet, à force de se nourrir exclusivement de fruits à même les arbres, de légumes encore en terre, de tubercule encore fumant au cul des poules, d’infusions de feuilles d’ailleronnes maïeudènes, de décoctions de jus d’aspriestes, notre héros s’était transformé en datte.
Ce qui est un comble pour un ancien booker, vous en conviendrez.
Comme vous l’aviez aisément pressenti, connaissant le loustic, il n’est pas allé bien loin dans cet accoutrement qui datte, qui colle au bonbon et qui, de ce fait, attire tous les doryphores du patelin qui aiment le sucre et quand ça colle aux digues.
Il s’est ainsi rapidement retrouvé lesté de tous ses suiveurs qui lui léchaient le cul depuis Belcier (voire Cauderès (*) pour les plus hardis), collés à ses basques, ou sur des échasses landaises, en cour des miracles vivants, en essaim de mousquetaires, en d’Artagnan, en Ravaillac, en Ramaillac, en d’Armagnac.
Et toute cette jeunesse turbo dont on avait du mal à comprendre le message, nous autres anciens qui savions, ou le feignant, on ne comprenait ce message pollué qu’il était d’entrée par des influences fourre tout, des stones, des kiss, des AC/DC mâtiné de savate, du vegan et de séduction ancienne à base de jeux de rôle et autres circasseries age2pompes-couilles-2moi&mange1gnon.
(*) si vous avez vraiment rien à foutre ces prochains jours, je suis tombé sur un manuel d’histoire tout neuf, peu servi du « quartier » de Cauderès (pour moi, Cauderès représentait tout au plus un pont au dessus d’un truc (ni le pont, ni l’obstacle ne motivant l’érection (du verbe ériger) d’un tel braquemard turgescent permettant de franchir les boulevards, entre la Barrière huppée St-Genès et celle méprisable de Toulouse, pour fondre sur la capitale régionale administrée depuis peu par un certain Gouardès, d’origine landaise comme son prédécesseur, parti retrouver ses amis écureuils à Lafontaine, à Montréal.
Ça me rappelle aussi, ado, ce Cauderès, rentrant d’un court séjour linguistique (comment placer la langue pour favoriser le cul-sec attendu par l’auditoire, vibrant ?) en Angleterre où on était parti un mois, rentré au bout de 3 jours, t’en rappelles-tu, taillacot ? quand on était allé direct chez ta tante qui habitait à ce fameux pont de Cauderès, mus par une pulsion fellinesque, car elle était censée, du fait de certaines dispositions péripatéticiennes et une paire de loches que n’aurait pas renié Richard Trevithick (l’inventeur de la machine à vapeur, haute pression, pour les ignares de mes lecteurs) nous délester encore plus les bourses, après la félonne Angleterre, t’en rappelles, fredo ?
ah beh non, il peut pas s’en rappeler, le gonze, il est mort, aux dernières nouvelles. Suis-je bête ?
Té, à ce propos, j’ai vu Freddy Short, ce matin, au Carouf Market la Bastoche, en train d’expliquer un truc à sa meuf, avec cet espèce de calme qui le caractérise et qui précède souvent le meurtre en série.
Bon, pour en revenir à Cauderès (en laissant Suzon sur main droite), je vous aurais prévenu, hé, ça présente aucun intérêt ce manuel, un peu comme l’autre mescoinques là … http://quartier.cauderes.over-blog.com/pages/Le_quartier_et_son_histoire-1538820.html
… et ce malgré des mensonges éhontés qui y figurent (probablement pour rendre sexy le pâté), par exemple, comme quand page 12 il parle de 11227 habitants à Talence en 1904 … or il n’y avait que 11223 habitants à Talence en 1904, vous aviez corrigé de vous-même bien évidemment en rectifiant 4 parasites au hasard qui rentrait dans une synagogue, pétant déjà.
Ces gens grandis sous les ponts de Cauderès croient secrètement qu’ils vont aguicher le chaland, de retour, fourbu, en tortillard, en provenance :
·        du Médoc pour visiter, qui des consanguins de ces amis, quête des pédophiles (ou des homos) en train d’imaginer un Festival d’Immobilier ou
·        d’Arcachongues (***), une réplique marultime de Chartrongues désoeuvré héliporté (à vos risques et périls, m’sieurs-dames !) mais chartrongues libéré, hors les murs, sur le bassin, truffé également des mêmes vieilles rombières qui voudraient bien se faire lustrer la rondelle pour la remiser, in finez, fièrement, dans le vaisseuliez, une fois rentré aux chartrongues pour faire mouiller les copines.

(**) j’ai longtemps
???
C’est marrant, non ? J’avais commencé une phrase jadis, sûrement interrompue par un impondérable. Nous laisserons donc ce mystérieux « j’ai longtemps » qui laisse pas mal de possibilités comme ça, en mausolée, dans son jus (d’aspriestes ou équivalent), en souvenir d’un 2ème point scabreux non indiqué dans un récit pourtant limpide et qui n’en pouvait mais.
(***) d’autres lieux de villégiature éténaux (beh quoi ?) présentent un meilleur rapport ongues/usage, par exemple lantongues, également sis sur le bassin, vers le cul (pour ceux qui aiment les poils): s’avèrent très utile, l’été pour se rendre à la plage, déguisé en blaireau (l’être supérieur préférera y aller pieds nus pour vraiment toucher du doigt (de pied) la différence entre vicissitudes éténales (beh quoi ?) et vicissitudes hivernales.

On le voit bien, à travers cet exemple de bonne pratique, écho responsable, le futur maire de Bordeaux, reeeeesss, n’aura pas volé, poooooooooooooooooooooooon, son trône car, saaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaabbbbbllllllllllle, il aura su tout au long des quais que la terre nous envierait, eeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee, presque s’ils ne se finissaient en eau de boudin, cccccccccccchhhhhhhhhhhoooooooooooooooooooooooooooooo avec cette sorte d’étron sorti d’on ne sait quel trou du cul, rrrrrrrrrrrrrrrrrreeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeesssssssssssssssssssssssssssssssssssssssssss (c’est agaçant cet écho à la fin !) et surtout, il n’aura cessé être sur le terrain, toujours. Ppppppppppppooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooonnnnnnnnnnnnnnnnnnn
Et merde ! ça suffit maintenant !
On y comprend plus que dalle aux messages des politiques avec ce putain de flange sssssssssssssssssssssssssaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
Il aura du arracher ses dernières voix avec les dents.
Bbbbbbbbbbbbbbbbbblllllllllllllllllllllllllllllllleeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee il en garda un poil sur la langue et un affreux goût de merde.
Quel est le point commun entre le St-Ex et le Booboo’z ? Part II
Putain, j’ai été obligé de commencer un nouveau paragraphe, dis donc, pour couper la chique à cet écho (des savanes pour coller au sujet poisseux, aux confins du delta).
Oui et donc voyez-vous, pour résumer le post précédent (et les 7 ou 8 à venir), le futur maire a commencé à occuper le terrain du Booboo’z à des fins électorales. Pour serrer des louches (qui en l’occurrence ne veut pas dire Pour débusquer de patibulaires individus).
Et aussitôt, sur ses pas, comme aimanté, on vit rentrer dans l’établissement bariolé (j’arrive plus à remettre la main sur cet adjectif qui marque clairement une certaine distance vis-à-vis de ces populations récentes de l’hexagone comme qui dirait hors les souches pour utiliser cette novlangue qui ne garantit rien de bon par les temps qui courent (alors qu’avant si)).
Ah si, ça me revient, ici et maintenant, c’est bigarré, l’adjectif qui prend ses distances, une contraction de bigard et de bagarre (et non pas de bigorneau et de raie ce qui aurait probablement ressemblé à ça, au mieux …

Ou à ça au pire …
Avant, sur Bordeaux, quand on s’intéressait encore un peu aux noirs, y’avait des établissements en vogue : l’Aquarius (qui vit passer dans les années quatre nains, un clown blanc qui manifestement se définissait comme un vis-à-vis de son négatif), l’Hibiscus, l’Equateur, la Soufrière.
Repartons sur le chant dans la brousse de la ouèbe, avec sa petite machette et sa goutte au bout de la quiquette qui indique le Nord.
Bon, comme je trouvais rien sur la ouèbe, je me suis arrêté sur une petite nature morte qui ornementerait avantageusement ma cuisine d’agrément en semaine et agrémenterait sans coup férir ma cuisine d’ornement en week-end.

Vous aurez aisément reconnu un des 1ers résultats de la recherche « la Soufrière bordeaux » par un des 1ers racistes du nouveau monde numérique, Google.

C’est un peu toute l’histoire du peuple noir, ça, de nature mort paresseuence au champ de bataille, ayant reçu un ballot de coton alors qu’ils jouaient à la baballe durant leur pause, ils sont incroyables quand-même ces travailleurs noirs non rémunérés, ils savent pas quoi inventer pour amuser leurs bourreaux.
« C’est ballot ! » : ne dit-on d’ailleurs pas pour qualifier ces petits désagréments de la vie : esclavage, pré-lavage, bavardage.
Vous remarquerez au passage (d’agen) que quand la densité d’images croaaaa, on est pas loin de la quille.

Le carnaval Dead a river.
Et alors, du coup, en cherchant un truc sur les boites de nuit antillaises, antigueille qui virent passer ce blanc-bec autoproclamé de brooklyn, je tombe pas sur ce truc là …

Té ça, bizarrement, cette info qui concerne pourtant le monde du spectacle vivant, je l’ai pas trop vue relayée par Fehssebücke, dis donc, par le facteur fridolin félon qui aime bien pourtant foutre sa merde à l’ouest du Rhin et déclencher des esclandres entre amis de longue datte (clin d’œil au bourgmestre pour qu’il me lâche un peu d’artiche au budget primaire ou comme il voudra, saoul à table).
Mais probablement le facteur fridolin félon fédéral (clin d’œil aux länders que la terre nous endive), Fehssebücke pour ne pas le nommer, considère t’il que nos amis africains n’ont qu’à régler leurs problèmes en interne, dans leur case, avec leurs boubous (a priori si on a recours à plusieurs boubous et qu’il reste des problèmes domestiques, c’est qu’il y a un trou dans la raquette, non ? (novlangue sévices informatiques, « quand on veut faire un trait d’humour »).

Et alors du coup (ayant brusquement perdu toute notion du sujet en cours), je me suis mis à rechercher frénétiquement, sur la toile, tout ce qui relevait manifestement du périmètre africain.
Tiens, par exemple, vous savez ? un africain occupe le pavé bordelais (menu à 12 euros TTC).
Ce faisan, je tombe pas sur un blog qui marche http://www.lespavesbordelais.fr et un blog qui marche, c’est pas jojo.
Surtout quand il bande.
Et cet autre africain, là, si bien pavé monté nou té ké ka dansé qu’on le croirait sur la béquille. Karfa Diallo. Si souvent croisé dans la rue, vous remarquerez, d’ailleurs, il est toujours plus ou moins à trainer vers la statue de Chaban. À croire que c’est lui qui masse.
Bon alors, Karfa, je suis allé voir ton (pas le « ton » du raciste, le « ton » du collègue) site, par politesse, et pour ne pas être taxé de vulgaire publicitaire, contraint au racisme pour gagner sa rolleix avant 50 ans …

Le seul truc vaguement intéressant que j’ai trouvé sur ton site est le commentaire d’un certain hostein (sans s bizarrement) :
hostein
26 avril 2014 at 18 h 45 min #
a quand le redressement de la plaque commémorative de l esclavage a bordeaux
,elle serait mieux situe de façon verticale le long des promenade le long e la Garonne

C’est un peu du petit nègre, certes, mais ça a le mérite d’être dit.
Pour répondre à ce tribun qui semble maitriser son sujet, peut-être pourrait-on rétorquer que si la plaque commémorative avait été « située de façon verticale » peut-être eusse t’elle masquée l’étron en cours d’érection (du verbe ériger : bander comme un âne) au pont tournant et que seule l’odeur eut alors permis, à l’aveuglette, pourrait-on dire !, au préposé de se rendre sur le lieu de l’infâme dépôt qu’on aimerait au caniveau. Pour faire ses besoins.
En cerise sur le gâteau (une forêt noire par exemple, avec une cerise sur le gâteau), vous pourrez déguster (qu’est-ce tu dis Bastien ? tu deviens inaudible là, articule merde, on est à Lantenne (banlieue est de Lantongues) !) cerise ce passage où Karfa explique qu’en 12 ans il s’est émancipé de l’esclavage, qu’il a fait en quelque sorte le deuil de l’esclavage et donc que noir sur noir, il lui reste l’espoir.

Juste avant la mise sous presse, Karfa me fit envoyer un telex en complément de cahier de remémoration, en devoir de vacances pour mieux préparer la rentrée.
« L’été devait être bien mémoré afin que l’automne embellissent mes neurones, que l’hiver raffermissent mes ovaires, que je m’affranchisse au printemps, cocu mais content, comme un lama à Bordeaux. » André Malraux, 1957

Je me remémorais soudain, dans ce cloaque du raisonnement, que je recevais depuis belle lurette des mails de ce truc là, MC2a. Sans y prêter la moindre attention.
Euh, d’abord, MC2a, t’es gentil mais … euh, demande à un authentique « bordelélélélélé ça c’est bonbonbonbonbon » de souche, a fortiori métalo, descendant de HighpowerS ou du Morsüre d’Alari de la House à Canèje (http://fr.wikipedia.org/wiki/Mors%C3%BCre) … ce qu’évoque pour lui MC2, tu verras bien s’il te répond en touareg ou en wah-wah ? en comorien façon Bob Bénard ou en pédale fuzz 36 coups, à la Ted Nugent ?
Et donc du côté de ce MC2a qui a fort mal choisi son nom s’il vise un lectorat de type Hard-Rock / les Runes / menu vegan à base d’ailleronnes maïeudènes et jus d’apriestes, que nous proposent-ils, doudou, dis donc ? hé ?
Et beh euh … http://www.web2a.org/
Alors, j’ai bien lu ta newsletter de Mars, MC2a, et je me pose illico une question, lancinante comme ces neiges du kilimandjaro qui ne verront jamais dévaler un skieur de Nancy et de Nantes (car on ne peut pas être à la fois de Nancy et de Nantes, CQFD) :
« les africains, ça les intéresse vraiment ces austères propositions d’activités proposées par la newsletter où ils préfèrent la truculence d’Adam et Eve sur D8, comme les gens normaux ? ».
Ça me rappelle un autre truc lu dans Télérama récemment :
« France Ô sont ( ?) sur la sellette. Créée en 2005, la chaîne de la «multiculturalité» et vitrine de la France ultramarine, pâtit d’une audience confidentielle et affiche régulièrement 0% de part d’audience ! ».
Même quand le blanc et sa culture impeccable propose une activité au noir supposé s’ennuyer toute la sainte journée, car trop tributaire de son Maître, celui ci refuse l’aubaine pour aller voir enfin qui d’Adam ou d’Eve.
Ça me rappelle aussi quand j’avais voulu lancer cette Odette d’Aquitaine à l’assaut des impies, repliés à Sauveterre de Guyenne toujours à ripailler, à faire des rots, à faire des pets (dans la limite des bientôt 100 dbets), à faire des smacks à la terre entière, visant à lui structurer la croupe à grand renforts d’onomatopets (dans la limite des bientôt 95 dbets).
Et alors, du coup, cette Odette d’aquitaine, toute à sa croisade contre les heretics barricadés à Sauveterre, se dit : « pour toucher ce public AQUITAIN, si friand d’artistes AQUITAINS, je ne vais utiliser que des média AQUITAINS. ».
Tu remarqueras, lecteur ébaubi (égillère aussi, épamelagrotiti bien sûr, si bien chantée par le chansonniais du cul du lycée de la rue duhem), que AQUITAIN et AFRICAIN sont extrêmement proches lexicalement parlant. Identiques en nombre de lettres et ce à 4 lettres près.
La différence tient à un QUIT (« La France, tu l’aimes ou tu la QUITtes ! ») au Nord et à un FRIC (« Tout ce qui t’intéresses, c’est le FRIC, le FRIC, le FRIC ! ») au Sud … T’as vu ? C’est quand même bien fait la langue française quand t’y réfléchis un peu, non ?
Ils devraient s’en inspirer un peu, à l’Europe, tiens.
Tout ça pour dire quoi, d’ailleurs ?
Ah oui, faut quand même être sacrément con pour se limiter aux médias aquitains quand on veut lancer la carrière d’artistes aquitains.
Déjà qu’en mobilisant la couverture médiatique mondialisée …
… du fait d’une tendance naturelle à pomper un truc existant …
… ce dont je parlais à l’instant par mail, figurez-vous, avec un ami, avocat poppy délicat et vent debout contre les lobby spoliant les auteurs, donc unique en son genre lui !)
… ils ont très peu de chances (les copieurs aquitains) de lever la coupe aux grandes oreilles alors, en se limitant aux media locos genre le journal du médoc, le résistant ou la feuille pour nos amis du 47, on tombe direct dans le bêtisier des probabilités un peu à la manière de notre France O qui croyait, l’imbécile, la truffe périgourdine que les noirs regarderait un programme fait par des blancs pour des noirs alors qu’il y avait une expo de nichons sous un arbre à palabres abandonné faute de résultats bien que bolloré aux aurores boréales de D8 où aucun hélico, illico non vehiculo negroïd, he was a negroïd, happier than you and me, ou dévot, ou bicot, because Biko.

Les africains, malgré tous leurs défauts sur lesquels on ne va pas revenir éternellement, comme en repentance à Fort de France, comme on harangue haine à Mostaganem ou comme on harangue sors les poubelles avant qu’elles ne vinssent à craquer, comme à Beurnaoute au Sahel proche, ces africains donc, dont on nous rebat les narines, participent également à la culture énorme de souche qui a bien voulu accueillir leur influençabilité légendaire.
Et donc, au moment que d’être affranchi (contraction de affreux, blanchi de tous soupçons), l’africain, oubliant son bienfaiteur comme tous mes protagonistes, préfère, pour se distraire, un programme unirace qu’un programme spécifique lui rappelant qu’il doit aller là-bas, sur l’autre rive, masser Chaban, là bas, Chaban, là bas, tout mousse, mousse à la Chaban, là bas.
Faut quand même se rappeler, à cet instant précis du récit (alors que, curieusement, au même moment, un malheureux se jette, dépressif, du récif) que nous étions en train d’évoquer le Festival Dead a River mais comme je me suis fait légèrement remonter les bretelles par un Musicalarue pour m’être légèrement gaussé de nos amis communs festivhôtes, on ne m’y reprendra pas. Je ne voudrais pas mettre en péril ma rémunération de quand je serais mort, faut pas déconner non plus !

D’ailleurs, dans le même ordre d’idées, figurez-vous que MC2 Guitare dont on parlait tout à l’heure, en son naturel, MC2 Guitare, c’est mort !
Du fait de la scandaleuse campagne de dénigrement du solo en musique, orchestrée, depuis les 90’s, par les lo-fi et autres joueurs de secondes zones (St-Médard, Eysines, Le Barp, Lubec, …) - Des Pratique amateur, pensez-vous ! –, et beh je sais plus ce que je voulais dire et je vous merde.
Enchainons.

Alors que j’étais, en parallèle de cette activité de veille ethnologique sur les africains, en train de regarder d’1 œil enthousiaste, pépouse sur le sofa auburn du living, « Naufrage en Cuisine » (je ne savais pas, l’insoucieux, à cet instant-là que l’animateur au gros nez se transformerait en porc de la lune et son gros nez en groin, in finez), l’autre cochon, qui n’était pas encor de la lune donc, essayait de relancer un boui-boui à Pittsburgh qui se réclamait de la soulfood (genre de tambouille des anciens (et nouveaux !) esclaves, qui doit s’écouter sûrement avec du blues du delta sauce blanche, sans frites (*)), en occupant à moindre frais des bénévoles oisifs et moches, à l’accueil !!!, alors que donc, côté veille, j’apprenais, tétanisé, que MC2 était tombé au mains d’un luthier, maintenant …
(*) Je faisais alors, à cette époque, en parallèle de diverses activités de veille, une étude sur les divers accommodements ( ? ations ? asimodo ? res orientales où Bob Bénard tenta de mettre un peu d’ordre ?) du kebab.
J’avais noté (dans du marbre sauce blanche) que les blancs-becs, passés 40 berges, prenaient tous leur kebab sans frites sauf précisément, ce jour, une vieille, genre instit’ casse-burnes, qui m’obligeât séance tenante à arrêter net cette étude si pertinente que je menais en loucedé, depuis le départ de Coluche de Mérignaque, incognito.
Ce départ du Coluche faisait suite (incognito ET indubitablement) au départ du Viandox, 10 ou 15 ans plus tôt, qui avait fait une courte apparition là où ils ont mis le Dynasty maintenant, où vient manger seul un collègue consultant, vieux avec une haleine fétide, qui est en arrêt maladie, ces jours-ci, pour cause de préparation de suicide. Ils ont carré dans ce Dynasty une fontaine de chocolat pour faire rêver les enfants et les suicidaires et vomir les gourmets.
Il s’agissait quand-même du 2ème établissement de qualité qui quittait cette ville-terre mâle (se dit le Passant de Bordeaux qui dérivait depuis la veille midi, suite à une grosse murgeasse, chez Carlo et Raphaëlle, Barrière de Pessac), Mérignaque, LA capitale du bon goût près de chiez vous, qui, en contrepartie d’une usine Dassaut cousue main à Capeyron (ou un autre de ces autres quartiers, en tous points, aussi pourris), ont appelé leur Lycée Serge Dassault pour traumatiser encore un peu plus ces enfants interdits qui n’ont décidemment pas choisi leur famille ni choisi leur maison ni choisi leur chanson nom'inqwando yes qxag iqwahasa (2 fois) … ou alors mal … nom'inqwando yes qxag iqwahasa (2 fois) … ou tout au moins de manière distraite … nom'inqwando yes qxag iqwahasa (2 fois) … trop occupé à ce qu’on pourrait manger ce soir … nom'inqwando yes qxag iqwahasa (2 fois) …
c’est le petit qui me fait du souci … nom'inqwando yes qxag iqwahasa (2 fois) … et toi, ça c’est arrangé avec Jean-Eustache ? nom'inqwando yes qxag iqwahasa (2 fois) … ché pas trop, il est parti aux sports d’hiver nom'inqwando yes qxag iqwahasa (2 fois) qui ça ? gulliver ? nom'inqwando yes qxag iqwahasa (2 fois) oui c’est ça, gulliver nom'inqwando yes qxag iqwahasa (2 fois) aux sports d’hiver nom'inqwando yes qxag iqwahasa (2 fois) ok.
Etre nez quelque part.
M’étonnerait pas qu’il fasse jouer Sexion D’assaut maintenant, ça serait le pompom ! pour donner le coup de grâce.

[Bon alors, à partir de cet instant précis du récit, où Priscille se ressert un bol de Régilait, lascive en lessive, hâtive ou rétive, l’auteur découvre, bien embêté, qu’il lui reste un stock TRES important d’idées à développer autour de cette thématique continentale. Comme un reste à faire colonial. Dans un souci moderne de compétitivité et de réduction de l’inepte, il décide de bâcler les sujets restants afin de reprendre une inactivité normale au plus vite.]

J’avais également noté d’aller à la pêche aux infos sur une certaine Perrine fifadji.
Où l'on apprend, médusé, que la French Touch prend ses racines (roots) au cœur (heart) de la Françafrique
Il me revient la Françafrique.
Pourtant y’a quelqu'un qui m'a dit...
{Refrain:}
De pas trop m’étaler sur la Françafrique,
C'est quelqu'un qui m'a dit de pas trop m’étaler.
Serait ce possible alors ?

OUI.
Il est tout à fait possible de s’étaler sur la Françafrique  car ILS en ont fait une très jolie serviette de bain pour l’été qui pointe le bout de sa queue.
Un sacré bon coup marqueueting, ça, Madame ! bien dans l’esprit des 4P, Pine, Pénis, Poireau, Popaul.
Vé, une authentique serviette de bien célébrant la Françafrique, ça mérite une haie döner. Sauce blanche.

De toutes façons, Foccart et Blanc-Francard c'est bonnet blanc (-Francard) et blanc bonnet (Christian) ... pas vrai ?

C’est un peu comme ce truc-là, les gonzesses, qui discutent avec les chauffeurs de bus, c’est pas banal ce truc, quand-même, non ?
Sans parler que c’est interdit car dangereux, du point de vue du préfait, quand même, qu’est-ce qui peut inciter une jeune fille, mâtin, à aller discuter avec le chauffeur ? Se faire bourrer, sérieux ? Quels sont nos atomes crochus avec les chauffeurs de bus, sérieux ? De quoi peut-on parler avec un chauffeur de bus, sérieux ? En quoi l’avis d’un chauffeur de bus peut être éclairant, sérieux (à part la nuit, plein phares) ? Qu’est-ce qui rend un conducteur si désirable, sérieux ? y a-t-il sur ce tableau de bord un bouton qui permet de faire affrioler la prospecte assise au 1er rang, les jambes croisées si sagement, sérieux (youp la boum dans ma cabine très spéciale, la prospecte, sérieux !) ?
Qu’est-ce qui a fait que ce chauffeur n’est pas devenu carlos ghosn (celui qui touche 800 fois le smic) alors qu’il dispose de cette qualité rare d’aimant à belettes, sérieux ?

[Ce qui est assez drôle avec cette méthode itérative de construction de vachettes, du fait que ça prend un certain temps, c’est que t’as des passages flamboyants écrits à la fin quand la magie a opéré, que tu marches sur l’eau, le ciel, les autres spectateurs … et des passages over laborieux du temps du début où tu amasses péniblement les angles possibles, 1 à 1, step by step (keep keep on) espérant qu’ils découvriront plus tard un cul ou un récit digne d’intérêt.]
Raibaud Part III : la mixité vue par la lorgnette de jean-lui, mon voisin.
On avait quitté Raibaud (http://www.ades.cnrs.fr/IMG/pdf/CV_YR_janvier_2014.pdf), hagard (st-jean), en train de critiquer et critiquer encore, comme un vulgaire troll et dieu sait qu’il en arrive de partout, critiquer ces musiques amplifiées comme quoi elles n’auraient pas fait assez d’alléchance aux greluches, qu’il faudrait instaurer la parité dans les groupes voire la multiparité si on veut pas accabler un seul des masculins mais l’ensemble du gang, ou bien ce gaffeur qui ne pense qu’à rigoler où l’on pourrait s’entraver.
Trop laid !
Bon d’accord, puisque vous y tenez, on fait mouette moite au plaisir des dames.

A la relecture, me demandez pas ce que Raibaud vient faire là, c’est bien simple, j’en sais rien. Ah beh si, c’est par rapport au titre, suis-je bête ?

Raibaud, hagard (st-jean) avait pris un Trolley de la protestation, vers de nouvelles publications au Sud, toujours plus au Sud, Jean-Lui, le joli cœur, avait troqué sa protestation contre une gonzesse et lui avait emboîté le pas, gaillard (st-jean), il aurait pu se destiner aussi à cette homosexualité publicitaire (comme aurait sûrement, ou pas, conclu, vleq, du cul du lycée) mais il avait choisi le parti de l’amour, le tortillard de l’amour pour aller en Normandie retrouver sa belle. Il avait alors tout laissé en plan mais n’avait pas correctement mesuré à sa juste valeur son reste à faire (ni la couverture de ces tests), laissant son collègue « dans la merde », l’obligeant à compenser la faillite de ce collègue inconséquent parti retrouver cette fille aux joues rouges Qui donnent aux hommes de là-bas Qui donnent aux hommes de l'amour L'amour made in Normandie.
Au lieu de laisser place nette, de manière cordiale et corporate. Une reste à faire nul.
Entre autres prestataires qui avions pris sur nous, depuis le bug de l’an 2000, pour nous exonérer de notre humiliation quotidienne, on évoquait des pénalités pour le contrevenant, si négligent, quand il reviendrait de batifoler.

Ce jour de fête du travail (qui nous valut’ tant de Fetdut’, Hildepüt’), je n’ai toujours pas reçu le précieux manuscrit de Normandie et je vais devoir mettre sous presse afin de délivrer en temps voulu (just in time) la cuvée 2015 du très prisé Cidre des Vachettes rousses, blanches et noires.
Veux-tu bien ranger ta case ? avec, s’il te plait, d’un côté les reste à faire, de l’autre, les reste à languir …
J’ai rassemblé dans ce paragraphe tous les concepts gênants de mon étude. Comme un dossier encore plus secret que Françafrique.
J’avais noté « Lanceur d’alerte » sur mon carnet d’observation de ces peuplades.
J’avais noté : « Critiquer / Crie Ticket … / Poinçonner / Poing Sonné ».
Super !
J’avais noté : « Que penser du retour des Tribal Jam ? Pourquoi diables, ces Tribal Jam sont si méprisés chez les blancs bec alors qu’il s’agissait probablement du meilleur groupe bordelais des années 90 ? ». J’appris, à l’occasion de cette nouvelle en(qui)quête que Bonnefond avait trempé dans Tribal avant que de tremper dans Emmanuelle Ajon, sa nouvelle compagne (actualité à vérifier tout de même, sous peine d’un procès retentissant à Rohan (et ses cachots) !)
J’avais noté : « Que penser de ce couple Ajon / Bonnefond, un saltimbocca claviers puis chargé de mission et une bella ragazza qui, malgré une opposition de façade (« mais non, vous n’y pensez pas, jujube, ne vous échauffez pas, c’est très mauvais ! »), semble dire oui, au fond d’elle, quand un bogosse de piano bar lui fait la sérénade, fusse t’il de l’autre bord ?
A la manière de ce modèle d’absence totale de tenue, cette française moyenne, cette Filipetti (Aurélie pour les intimes), au bras de son ancien secrétaire d’État UMP, Frédéric de Saint-Sernin, également ancien député de la Dordogne et ancien président du Stade rennais football club.
J’avais noté : « Que penser de la disparition de Djangu Gandhal, probablement le meilleur groupe bordelais des earlies 2K0 ? »
Ne faudrait-il pas que je me décide à demander carrément à Roger Biwandu s’il voudrait pas monter un groupe avec moi ?
Si ça se trouve, il dirait oui. En pensant non ?

Et cette beurette là (ou cette argendue beurette là) qui vient pas taper son incruste dans un anniversaire arty de la rive gauche …
et qui semble dire à Ralph Sabbath : « tu sais ? je crois que je vais réformer le Collège. »

Là, in finez, je tombe pas sur le truc qui devrait vous mettre tous d’accord … https://www.youtube.com/watch?v=W1WK5yiSEoc
C’est ça le talent !
Ce ne sont pas des lunettes… ce sont mes narrrrines! 
[Le temps qu’ils se décident enfin à objecter un truc bien senti, j’étais déjà passé au point suivant, tel le pumagnol de berlin, leste comme le puma du yucatàn, craintif comme le campagnol de La Châtre (36)]

Il y a trente ans, Michel Leeb faisait rire la France entière avec son sketch « l’Africain ».
Mais y a-t-il eu d’autres exemples, dans l’histoire de l’humanité, de confusion entre un objet (en « ette ») et une partie du corps (en « ine ») ?
Oui, Maître, sans aucun doute.
Quelques exemples, pour commencer, rencontrés dans l’«Histoire de France racontée aux envahisseurs» :
« ce ne sont pas des conquêtes, ce sont mes cannnnnnnines. »
« ce ne sont pas des coquillettes, ce sont mes 2 pppppppppines. »
« ce ne sont pas de viles soubrettes, ce sont mes bozniherzégovvvvvvvvvvvvvvvvvines. ».
« ce ne sont pas des pique-assiettes, ce sont mes ainsicesoirdevvvvvvvvvvvvvvvinekivientkidddddddddddddine ? »
D’autres exemples entre un objet (en « ette ») et un objet (« en ine ») ? (quand toutes les parties du corps en « ine » ont été sucées et resucées jusqu’à l’os.)
« Ce ne sont pas des toilettes, ce sont mes latrrrrrrrrrrrrrrrines. »
« Ce ne sont pas des navettes, ce sont mes spoutnnnnnnnnnnnnnines »
Marche aussi avec des zanimos, au besoin …
« Ce ne sont pas des crevettes ce sont mes sarrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrdines. »
Ou des concepts …
« Ce ne sont pas des niqueuenitêtes, ce sont des carabbbbbbines. »
Ou des outils …
« ce ne sont pas des grattoirs à lame de coupe lame de couteau pour les cheveux noga baïonnette, ce sont mes clefs de 12. »
Ah beh non, en fait, ça marche pas avec les outils … désolé.
Ou des copines (pour dépanner) …
Ce ne sont pas des Odette Est Josette, ce sont des Carrrrrrrrrrrrrine.
Je suis Bali balo
Oui alors là, on va pas trop s’étendre non plus, croyez moi.
D’ailleurs, de (travail de) mémoire, je crois pas qu’ils en aient fait non plus de serviettes de bain sur cette imagerie des spécialités lyonnaises un peu désuètes.
Ça veut bien dire c’que ça veut dire, non ?
Et c’est pas Google Images (pourtant bien informé, en général) qui me contredira, lui qui me renvoie en 1ère proposition …
... à ma recherche "serviette de bain" "gastronomie lyonnaise".
Comme pour noyer le poisson.
Comment voulez-vous que 2 concepts aussi voisins coâ bite ?
Comment voulez-vous que 2 peuples voisins coâ bite ?
Comment voulez-vous, enfin, que 2 extrémités que tout oppose, qui ne semblaient pas être fait l’un pour l’autre, qui n’étaient en rien ce qu’il est convenu d’appeler âmes-sœur, coâ bite ?

Surtout si tu tolères d’une main (à couper) de mettre à l’index (CAC40) les petits travers (de porc) du djihadiste quand tu vois d’un mauvais œil (était dans la tombe et regardait Caïn), in finez (hispanique), le persiflage (*) du sioniste, bec et ongles sur ses acquis (bancaires)…
(*) qui n’a qu’un lointain rapport avec Le Persil Plage, petite cité balnéaire entre Naujac et le petit Nice.
Ce serait un peu comme tolérer une émission d’extrême gauche sur le service public, pendant des années, et ne pas mettre une émission d’extrême droite, en face, dans la prog’, pour contrebalancer le désagrément procuré au français d’inspiration Les Républicains.
Apparemment, ça n’a choqué personne, pendant des années. Il était normal que la radio de service public soit de gauche.
Maintenant, on (ces truffes de journalistes) s’étonne d’être déconsidérés et jugés complices des gouvernants, du « microcosme ».
« On ne nous renouvellerait pas nos cartes de presse alors que plus personne (de moins de 75 ans) ne nous écoute. » : s’écria soudain Pascale Clark, ulcérée, à son auditoire, dont Iron Man.
Juste une histoire de cührser.
Comme disait Thibaud (que je croyais alors unique en son genre) : « à vot’bunker, m’sieurs dames ».

Bon, on pourra raconter ce qu’on voudra sur le côté rébarbatif de l’Africain, sur son côté qui prend tout au 1er degré, qui dispose naturellement de peu de degrés de liberté, comme dit le physicien blanc (de tout reproche) à tout propos, mais pour une fois qu’on en tient un de bien poilant, voilà, on va lui chercher des poux (*) dans sa crépunière si caractéristique.
(*) et aussi bien des outpoux que des pouxtsi, ce coup là, pas de différence, premier rentré, premier sorti (FIFO) !

Pendant qu’on faisait des émissions sur les exploits de ce Che Guevara dans la jungle du XVIème arrondissement, où Glücks et Fanfan donnait le jour, in finez, à un nouveau « Fils de » qui briguerait toutes les bonnes places au détriment des bamboulas, bicots et autres niakoués, toujours à quémander un truc, pour pas avoir à mettre les mains dans le cambouis, comme tous ces gens qui vont travailler, passé les périphériques.
On ne s’intéressait pas beaucoup, alors, à Cognacq-Jay, à ces noirs rébarbatifs, besogneux, ces ersatz de Malcolm X (l’éloquence en moins) et leurs états d’âme, envisageant alors une certaine couverture médiatique supérieure aux problèmes des peuples riverains du Jourdain qu’à ceux des riverains du Nihil ou du Congo.
Une tendance assez classique en France, donc, où le service public fait (et assume !) des choix (shoahs, ouh putain !) audacieux dans sa prog’ : l’extrême gauche au détriment de l’extrême droite, la shoa au détriment de l’esclavage.

Enfin bon, vous pourrez toujours me raconter ce que vous voulez, pensées uniques, mais Petit Poney, quand même … https://www.youtube.com/watch?v=fA4l6fbK_x0
Et après, enfin débarrassé de toutes ces pesanteurs, ces Restes à faire qui lui collaient aux basques et l’empêchait de guincher, libre, désormais, l’auteur fit place nette à la musique … Part II
Outre Raibaud laissé en gare, singeant, on avait également laissé notre héros (moi) en plan plus précisément en recherche de plan … zicos.

Il avait envoyé un courrier à d’anciens amis (des amis d’après MIDI mais des amis d’avant s’être rendu, corps et âme, aux réseaux locos d’Atahualpa). Qu’il croyait alors être des amis, plus précisément. Quelle erreur !
N’ayant eu aucune réponse, il avait essayé les vieux plans de l’après MIDI Vitaminic, Zinkinf, Audiofanzine et ce petit nouveau qui reprenait et glorifiait tous ces concepts épatants des early 00’s, BuzzMyMusic. Avec cette petite touche si prisée de concept 80’s, tout de même, concernant les 1 millions d’euros dérobés aux boat-people en train d’appeler à l’aide, en vain, au milieu de la méditerranée, avant que de couler dans un ad lib interminable.
Probablement l’obtention des 1 millions par le structurant faisait écho à la mise en avant d’une innovante médiation, apprendre au boat-people à se structurer en sifflant aux corneilles  en faisant la planche, pour appeler un dauphin à sa rescousse (qui ne sera pas « en course »). Et ce, en rythme !

Plus précisément, notre héros avait eu quelques réponses mais pas les réponses qu’il souhaitait, un peu comme la gonzesse qui met indiscutablement en valeur son cul et qui, saloperlipopottette, constate que, outre celui qu’elle kiffe grave sa race, d’autres, plus dispensables, se rincent également l’œil, au passage, se retournant même pour en avoir la bite nette.
Et oui, Madame Derrière, Madame Gros Bugne, Madame Gros Boule, Madame Haut(-Brillons) les fesses, oui, aussi, Monsieur Musiques Actuelles, Monsieur Pratiques amateurs, Monsieur PoPaul Ressources, vous partagez un juste combat contre l’attraction terrestre, un vrai problème, un vrai casse-tête :
Comment se prémunir de tous ces tue l’amour (resp. de ces musiciens boulez), pourtant les seuls à répondre à ton signal de détresse, oh ma détresse, ne touche pas à mes fesses (resp. quand les musiciens sexy reprennent un maki ?).
...
Et là, sur ces entrefesses, un samedi matin, voilà t’y pas que Arnaud Duvergé vient s’installer en face de chez moi et ça c’était un signal fort que le rock & roll allait revenir en force (depuis, Arnaud Duvergé est revenu sur sa promesse d’achat – il avait pas les thunes ! - et donc le rock est reparti végéter vers Cauderès / Nansouty jusqu’à l’obtention d’un nouveau bellâtre).
Ce même samedi, j’avais reçu de Michel Boussier la véritable adresse mail de Christophe Barbet avec qui ils avaient posé les bases (d’un succès monstre).
Le dimanche il (le héros (moi)) sût qu’il y avait ce local de répète rue reinette (ou l’inverse) à 130 euros le trimestre pour 2h par semaine.
Bon je vous passe les détails, j’en parle à John, il est ok.
Après, il se passe un certain temps et un certain nombre de batteurs avant que je (moi) décide de se passer des services d’un batteur (souvent casse-couilles et bavard, dans la vie et dans le jeu) pour privilégier un clavier.
Je me remémore (encore un travail de mémoire, ça va finir par péter le bouzin) cet ancien Bonjour Chez vous, Lachaise, un mec enthousiaste, c’est si précieux.
Il doit me donner réponse aujourd’hui.

Quelque jours après (après quoi ?), j’avais appris de la bouche du psychologue nombrîiliste EricâAZ âAZbribus que l’Archevêque Gerâaldini était malencontreusement DCD, cela n’avait aucun rapport avec le sujet (quel sujet ?) mais méritait néanmoins qu’on s’y attardâaz un instant, comme à confesse, invoquant pèle et mêle les augures, les premiers, les meilleurs, les derniers, les mauvais, Félix Houphouët-Boâazgny (pour le son et faire semblant de coller au sujet) et le sort coquin (pour tout les reste).
Du fait du décès, l’utilisation de l’orgue fût décidée le jour même.

Et puis comment ne pas mentionner, dans cet article-dépêche, ce grand ancien, ce baroudeur des musiques métissées, qui s’avère être à la croisée de tous les chemins de la création musicale sur Bordeaux-Ouest (ou presque).
On serait presque tenté de dire que Mérignaque a abusER, dans sa grande entreprise de vengeance ennemie et toute à sa cruauté-soleil, à l’encontre de ces cloportes-soleil, sis entre pessacais et st-merdeux, a fait une erreur de géolocalisation en plaçant le lieu dit Les 4 Chemins au carrefour dit des 4 Chemins (*) alors que les vrais 4 chemins se situaient indéniablement plus loin vers la BA106 (avant le pied), au croisement du Cap où y avait un Macumba. On pourrait parler de 5 chemins même si on inclut cette petite desserte, cette pénétrante pourrait-on presque dire, qui part discrètement sur la gauche, en patte d’oie (ou pâte doigt, je sais pas) qui file en loucedé vers le zoo de pessac puis magonty pour tout dire, pour les riverains, un raccourci vers la civilisation (le Pacha Club et sa fameuse Guinguette qui survécut au Macumba probablement à cause de cette consonance plus avenante en ette, quiquette, bistouquette, minette que celle en ba coup bas, cul bas, serge laba, tout mousse mousse t’en va là bas, là bas n’y vas pas y’as des tortues y’a des limaces, des incontinents, des adidas, des soma riba … ah beh oui, voilà, c’est ça que j’dis, le baroudeur, c’est de ça que je voulais parler avant de me perdre dans ce lopin de terre perdu dans la pinède, entre lapins d’aéroport et Croix d’Hins (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gare_de_Croix-d%27Hins), pour ceux qui se sont méchamment égaré (bien trop haut !).
Soma Riba, le Gonze, le Directeur Artistique du Macumba et fondateur du Collectif Métissé par la même occasion.
Mais si, Soma Riba, vous savez ? Enfin. Avec DJ Fou. Vous vous rappelez pas ? Faites donc un TRAVAIL DE MEMOIRE, jean-foutres !

(*) comme la plupart des croisements, rappelez vous, mais à Mérignaque, voyez-vous, un rien les étonne. Forcément.



Raisons de plus pour acheter ces Double Nelson qu’un TRAVAIL DE MEMOIRE énorme a extirpé des volutes de stupre, d’alcool et de cigarettes du passé nez grillé ...
24 jan 2015 09:21:32 CET Nº de transaction : 2RB461033T880654K €7,00 EUR à double nelson. (yorcess@hotmail.fr)
Ce post ayant été commencé 2 mois plus tôt, il fallait absolument que je bisse ce Double Nelson par un artiste authentiquement africain ayant choisi la langue du colon (eH bEH, mON cOLON !) afin de lui plaire et d’obtenir un avantage.
J’ai vainement cherché un artiste français keublahblahblah audible et comment dire, beh, j’ai du remonter un peu dans le temps pour trouver un truc qui pèse pas 2 tonnes, plombé par un trop gros TRAVAIL DE MÉMOIRE qui laisse des trâces dans le slip …
Joséphine Baker, voilà, pile poil !
De mémoire de poilu, on avait jamais vu un si beau cul ! (les critères d’appréciation de l’époque étaient assez proches de ceux d’aujourd’hui.)
Par contre, je ne voulais pas restreindre mon enthousiasme pour Joséphine à quelques notes si souvent peu télégéniques et qui retranscrivent si imparfaitement la beauté d’un cul et ses différentes chutes.
Je préférais, à tout prendre, quelques images, même très dépouillées. Voire en gros plan.
Ne  tirez pas de cette acquisition à titre gratuit les conclusions en me retirant de la vie politique que je n’envisage pas, comme ces jeunes adeptes du binge drinking dont on parlait à l’instant avec l’ancienne fondatrice du Babylone, rue de la Rousselle, de débourser le moindre centime pour un travail en relation avec ce continent africain (le jeune de tout à l’heure n’envisage, lui, pas de raquer sa conso qui inclut la TVA aka l’appartenance à la collectivité ainsi que le salaire du serveur aka en emploi pour tous).
Gardez-vous bien de voir en moi un de ces sinistres individus des Chartrongzzz ou de Nantes qui s’enrichirent de leur passé négrier allant même jusqu’à collaborer lors des derby de l’atlantique en alignant un onze exclusivement composé de noirs, rapides et forts mais souvent dépourvus d’intelligence taquetique et tequenique.
Bon du coup, pensant rien trouver dans le ghetto, je m’étais rabattu sur un bon vieux truc franchouillard, au poil, de Toulouse, Aqua Serge du fait de ce Serge, prénom préféré des capitaines d’équipes de France de rugby (celui qui en trouve 2 exemplaires aura gagné 286 exemplaires du 1er disque de No Non Nein malicieusement intitulé « c’est pour faire écouter notre musique »).
21 avr 2015 16:15:58 CEST Nº de transaction : 2M371067D736311C
Vous avez envoyé un paiement de €17,02 EUR à Almost Musique. (contact@almost-musique.com) A l'amitié, Limited Edition Compact Disc by Aquaserge

Avant dernière minute : ay me glisse à l’oreille le projet de cet épatant claviers découvert au sein des très prometteurs Tabloïd John, du temps des très prometteurs Barbises également disparus, il s’agit de ArielAriel et ça promet !
Rien à vendre pour l’instant … jetez une oreille par là … https://soundcloud.com/arielariel/comme-toi

Dernière minute : Suis-je bête, il suffisait d’aller chez son crémier habituel, chez Tichadel euh non chez Tricatel pour trouver son bonheur … cet étrange Chassol qui justement se moque de ses origines comme de sa 1ère conga.
Order: #000601 placed on 04/25/2015 15:28:19 Payment: PayPal Reference Product Unit price Quantity Total price TRICDFR046 CHASSOL Big Sun - Format : CD/DVD 18,00 €



Happy end : Et puis y’a cette copine à Laura Chancelé, keublah, revue à la Taupi, jeudi dernier, à l’aise comme un poisson dans l’eau.
Elle avait fait le bar aussi, pour la fête de la musique, l’an dernier, place Laurent euh Fernand Lafargue, pour la scène Bordeaux Rock.
A la fraîche.

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